Nachdem die Ärzte nach einer langen gerichtlichen Auseinandersetzung die lebensverlängernden Massnahmen eingestellt hatten, verstarb der Wachkoma-Patient Vincent Lambert. Nun folgt die strafrechtliche Aufarbeitung. Lamberts Eltern beschuldigen die Ärzte des Mordes. Bericht des Tages-Anzeigers.

Hierzu auch “Le Temps”: “Vincent Lambert, une mort qui déchire la France”.

Auszug:

“(…) Comment en sortir? Faut-il revoir les lois de 2005 (relative aux droits des malades et à la fin de vie) et de 2016 (qui permet de plonger dans une sédation irréversible les patients en phase terminale) lors de l’examen parlementaire, en septembre, du projet de loi sur la bioéthique – pour répondre à la promesse d’Emmanuel Macron d’étendre à toutes les femmes la procréation médicale assistée – qui sera adopté en Conseil des ministres fin juillet?

Les équipes médicales spécialisées dans les soins palliatifs s’appuient en tout cas sur l’affaire Vincent Lambert pour demander que leurs patients expriment le plus souvent possible leurs dernières volontés, via des directives formelles ou via une personne de confiance. Avec un obstacle: il n’existe aujourd’hui aucune contrainte dans la loi française pour obliger les médecins à appliquer les dernières volontés des patients. Ce qui laisse grande ouverte la porte aux pressions des familles et des différents lobbies ultra-conservateurs et religieux.”

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